Nouvelle rentrée, même constat : des conditions de travail qui se détériorent avec toujours aucune création de postes, un nombre grandissant de postes vacants, des difficultés de recrutement, des salaires qui ne suivent pas l’inflation et qui intègrent de plus en plus une part indemnitaire non prise en compte pour le calcul de nos retraites.
Des conditions de rentrée encore plus préoccupantes avec une ministre démissionnaire après la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. Cela n’empêchera pas la CGT Éduc’action de continuer à défendre les services médicaux et sociaux de l’Éducation nationale et d’exiger que ses revendications soient enfin entendues : revalorisation des grilles indiciaires, notamment l’accès à la catégorie A type, des créations massives de postes et le maintien au sein de l’Éducation nationale pour les infirmières, les assistant∙es et les conseiller∙ères techniques de service social.
L’Éducation nationale a besoin des services sociaux et des services médicaux pour pouvoir répondre aux besoins des élèves, des familles, des étudiants et des personnels.