Les AESH, victimes de la désorganisation institutionnelle

Tract CGT ÉDUC'ACTION

La bascule de la gestion financière des AESH par les rectorats est en marche.  Mais à quel prix ?

Récemment, de nombreux·euses AESH se sont vu·es réclamer des indus astronomiques pouvant aller jusqu’à 10000€. Des sommes astronomiques pour des personnels précaires.

Entre la prime PEPA (entrainant des déséquilibres importants des revenus pour les AESH) et ces rappels qui tombent brusquement, la situation économique de ces personnels se détériore à nouveau et les plonge un peu plus dans la grande précarité. Et quand ils·elles tentent d’anticiper ou gérer la situation, ils·elles sont confronté·es au silence des services de  l’administration où les personnels sont eux-mêmes confrontés à une surcharge de travail et une précarité professionnelle. Inacceptable.

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CGT Éduc'action Clermont-Ferrand