Depuis le 1er janvier 2021, une « indemnité de fin de contrat », appelée « prime de précarité », peut être accordée aux contractuel·les. Le montant de cette indemnité est fixé à 10% de la rémunération brute globale perçue pendant la durée du contrat, renouvellement inclus.
Jusqu’ici, nous pouvions penser qu’il s’agissait d’une avancée sociale pour les agent·es non titulaires. Mais avec ce gouvernement macroniste et libéral, il faut toujours s’attendre à un effet pervers et délétère. En effet, d’après le décret 2020-1296 du 23 octobre 2020, cette « indemnité de fin de contrat » est conditionnée… Á quelles conditions ?
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