Elle concerne, par conséquent, les agent·es présent·es sur site mais également celles et ceux qui ont dû faire face à un surcroît de travail. Trois taux sont proposés (330, 660 et 1000 euros).
Le renvoi à des critères de gestion locaux engendre arbitraire et opacité de la prise de décision finale. Localement exigeons la transparence ! La CGT Educ’action regrette que les efforts de l’ensemble des personnels, notamment à travers le télétravail dans des conditions improvisées, ne soient pas reconnus par l’administration. La formule choisie par le gouvernement conduit à diviser les personnels.
Dans l’opacité la plus totale, l’administration opère des différences entre collègues, entre services, entre missions, entre territoires, suscitant ainsi frustration et mécontentement, au détriment notamment de la cohé-sion des équipes. Au final, seule une fraction très minoritaire sera concernée par cette prime. Le plus simple et le plus sain aurait été de procéder à une mesure générale.
Au lieu de reconnaître les efforts des personnels de la Fonction publique durant cette phase exceptionnelle, le gouvernement mégote, monte des usines à gaz, alors que dans le même temps, il sait trouver en urgence des dizaines de milliards pour aider le patronat